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Satirino records · Schubert - Piano Sonata D 664, Impromptus D 935

Franz Schubert 1797 – 1828

Sonate pour piano en La majeur D 664, Op. posth. 120
Quatre Impromptus pour piano D 935, Op. posth. 142

Ferenc Vizi   piano

Logo Paraty Black

En collaboration avec Satirino

Paraty 101109 - sortie le 26 novembre 2021

Ferenc Vizi Photo Arthur Forjonel 781 Nb 2000
Photo © Arthur Forjonel

Production
Paraty

Directeur du label / Producer
Bruno Procopio

Prise de son et mastering / Sound and master editing
Cécile Lenoir

Direction artistique / Artistic Direction
Cécile Lenoir

Création graphique / Graphic design
Antoine Vivier

Traduction / Translation
Ian Malkin

Photographe / Photography
Arthur Forjonel

Enregistrement / Recording
Salle Colonne, Paris, 6 & 7/5/2020

Piano
Steinway D (Régie pianos)

Accord / Tuning
Michaël Bargues

Paraty Productions
contact@paraty.fr www.paraty.fr

Cet enregistrement est dédié à Nelly et Noël Lacoudre que je ne remercierai jamais assez.

Thanks to / Remerciements
À tous les contributeurs de KissKissBankBank qui ont permis l’édition de cet enregistrement,et plus particulièrement : Delphine et François Huber et leurs amis, Agnès Neboit et ses élèves, Michel Mollard, Miranda Khabiri, Odile Couvert, Benoit Choquet et l’association Préludia, Georges Gara, de même que deux de mes professeurs auxquels je dois beaucoup : Cyril Huvé et Françoise Thinat.

Revues de presse

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GRAND SCHUBERT

“La petite la majeur ? Ferenc Vizi ne l’entend pas ainsi, qui dès le premier thème renonce à toute joliesse, phrase en liedersänger, ombre avec cette main gauche diseuse que tant de pianistes négligent chez Schubert, qui pourtant y contre-chante et contrepointe tout… malgré son incroyable maîtrise de chaque détail du texte, [son inquiétude] explosera dans les traits de la section centrale, joués comme par un orchestre.

“Et les Impromptus ? Une autre sonate, que Ferenc Vizi joue ample, construisant une arche qui réunit les quatre dans une logique foudroyante, qui transforme le second Impromptu, pris preste (Rudolf Firkušný faisait ainsi) en un petit scherzo… Merveilleux Andante où le pianiste fait chanter le thème de Rosamunde, avant un Finale aussi brillant que tendu : le rythme piaffe, le sang roumain du pianiste évoque tout un certain monde balkanique que Schubert avait perçu au travers de la musique hongroise… L’assombrissement des dernières pages, où le pianiste semble retenir et son souffle et ses doigts, est prodigieux.”

3 MAI 2022, JEAN-CHARLES HOFFELÉ

Diapason Logo 2

Schubert 1

'Il y a de la modestie dans les notes d’intention de Ferenc Vizi, comme il y en a dans son choix de programme… le pianiste d’origine roumaine jette son dévolu sur les pentes plus douces de la D 664, autre sommet - d’affabilité, de rondeur, de tendresse cette fois… L’interprétation, sans écueil, rend justice à ce qui s’apparente à une conversation entre amis que jamais ne dénature une virtuosité hors de propos… C’est d’autant plus beau que Vizi, sobre, naturel, y refuse tout pathos. Cette retenue signe également un Allegro à la quiétude idéale. Même les sforzandos y restent mesurés : le pianiste ne cherche pas à le transformer artificiellement en morceau de bravoure… la sérénité et l’allant du deuxième (Impromptu D 935) tout comme la nervosité du dernier, témoignent d’une grande justesse de ton et de conception.'

Bertrand Boissard, Diapason, mai 2022

 Logo Pizzicato

Un Schubert de tout premier ordre

‘…cet enregistrement recèle des idées nouvelles, constructives et convaincantes à tous les niveaux, qui apportent à la Sonate D. 644 op. Posth. 120 et aux 4 Impromptus D. 935 op. Posth. 142 quelque chose de très spécial. [Ferenc Vizi] joue un Schubert dont on ne peut que s'émerveiller. Sans aucune affectation, avec un touché supérieurement décontracté, il nous entraîne dans un monde schubertien tout à fait singulier… Le caractère narratif est de la plus haute qualité et particulièrement heureux dans les impromptus. Ici, des mondes miniatures sont créés et des histoires racontées… l'interprétation de Vizi de la Sonate pour piano D. 664, gagne en profondeur, en expressivité et en relief sans que l'interprète se place lui-même au premier plan. C’est tout simplement d’une formidable habileté !’

Rémy Franck, Pizzicato  4 décembre 2021

 Classicnews Click

CLIC de CLASSIQUENEWS de ce début 2022 !
Du ruisseau et de l’abîme schubertiens…
Ferenz VIZI révèle un Schubert incandescent, fulgurant

'Ferenc Vizi sait chanter et danser son Schubert avec une évidente fluidité bienheureuse, dès le premier mouvement de la Sonate D 664 Opus posthume 120, à la fois insouciant et grave, présent et mélancolique… Ces 11 premières minutes primitives installent un monde viscéralement onirique, très juste… L’allegro fait couler une eau claire, vive, nettoyée de toute connotation… d’une intensité lumineuse qui roule, coule et murmure, en son irrésistible candeur chorégraphique.

'Les 4 Impromptus D 935 saisissent autant par leur naturel expressif… [N°3 Rosamunde Andante] diffuse un rêve d’une idéale insouciance où les qualités d’articulation, et la digitalité aérienne du pianiste déploient leurs arguments enivrés… les variations sont jouées avec un génie évident de la caractérisation, y compris dans le versant plus grave du cycle… ce cheminement entre ombre et lumière, foudroie.. Magistrale conception de l’interprète.'

Lucas Irom, classiquenews.com  15 janvier 2022

 400x400 En Pistes

France Musique ‘En pistes !’ 4 janvier, Coup de cœur - Ferenc Vizi rend hommage à Schubert

‘Le pianiste Ferenc Vizi nous livre, sans retenue, un album dédié à Schubert.’

19 janvier - Nouvelle diffusion de l’album Schubert de Ferenc Vizi sur l’émission ‘En pistes !’

‘Un disque que vous avez déjà entendu dans cette émission, qui nous a beaucoup plu, et quand on aime, on rediffuse... Petit bijou de poésie et de délicatesse... Ce pianiste a tout compris à la musique de Schubert… Un Schubert tout en simplicité et sensibilité, un Schubert qui touche immédiatement…’

Texte de présentation de Ferenc Vizi

Si en me lisant, vous espériez trouver une approche de Schubert nourrie d’une hauteur de vue d’ordre musicologique, je crains de vous décevoir d’emblée. Alors, vous demandez-vous, qu'attendre de cet avant-propos ? J’ai l’habitude de plaisanter avant d’entrer sur scène, en pensant que le plus difficile c’est de ne pas décevoir ceux qui n’attendent rien. Penser à Schubert et essayer de le traduire avec des mots ou en musique, peut facilement conduire à deux extrêmes : se retenir et “ne pas en faire trop”, mélange de pudeur, maladresse, voire d’impardonnable sécheresse ; ou alors se laisser librement aller à des considérations dont le sentimentalisme et la banalité avoués ne sauraient être un frein suffisant. Alors je me suis interrogé sur la seule chose qui puisse encore venir à mon secours, la sincérité du propos. J’en ai trouvé quelques traces, visiblement suffisantes pour les partager ici.

"Je ne calculerai jamais ni ne finasserai avec mes sentiments du cœur. Ce qui est en moi, je le donne tel quel, un point c'est tout". (Lettre de Schubert à son frère Ferdinand, le 29 octobre 1818)

Jusqu'à mes 18 ans, mon répertoire pianistique s’est nourri des œuvres de Bach, Mozart, Beethoven, puis Liszt, Schumann et Brahms. Je n'avais pratiquement ni entendu, ni joué du Schubert. Ce n'était pas délibéré, simplement, dans la Roumanie des années 80, N. Ceausescu, autoproclamé "Génie des Carpates", et même "Danube de la pensée", supportait de plus en plus mal une musique autre que patriotique ou folklorique. Les écoles et conservatoires de musique fermaient et le rayon musique classique dans ma petite ville transylvanienne, Reghin, ne proposait plus que Vivaldi, Mozart, Chopin, Liszt et… Richard Clayderman.

C’est n’est que plus tard, en première année au conservatoire national de musique de Paris que Gérard Frémy m’en fit travailler tout au long de ma première année. Malgré mon application, l’essentiel m'échappait, je sentais que je n’avais pas les bons outils, que Schubert n’était pas une sorte de station intermédiaire entre Mozart et Beethoven. Il me fallait trouver un ton propre à cette musique, sa façon de se mouvoir, de respirer, de parler. Un jour, j’ai découvert le quintette pour deux violoncelles par le quatuor Amadeus dans leur dernière version, celle de 1986 : ce fut une révélation, durant des mois j’ai littéralement vécu avec cet enregistrement. Tout comme avec celui du quinzième quatuor par le quatuor Busch. À partir de ce moment, j’ai ressenti une impression de dégel dans ma perception, la musique de Schubert s’est mise à sonner avec une intensité inimaginable jusque-là, provoquant en moi une émotion proche du point de rupture.

“Personne qui comprenne la douleur de l’autre, et personne qui comprenne la joie de l’autre. On croit toujours aller vers l’autre, et on ne va jamais qu’à côté. (…) Mes créations sont le fruit de mes connaissances musicales et de ma douleur.” (Journal de Franz Schubert, 27 mars 1824)

Schubert - oser une relation dans laquelle l’auditeur n’a pas le temps de se questionner sur le positionnement esthétique, musical ou intellectuel, l’émotion surgissant instantanément comme la paume d'une main tendue et silencieuse dont on s’empare au passage.

Paume, doux lit froissé
où des étoiles dormantes
avaient laissé des plis
en se levant vers le ciel.

(R. M. Rilke : Vergers - publié en 1926 dans La Nouvelle Revue Française)

Schubert n’est autre que cet inestimable ami toujours prêt à vous tendre la main, il s’en dégage une urgence à la saisir pleinement et sans retenue, puis cheminer hors du temps, hors du sol, hors de soi, dans une proximité totale et sur un ton schubertien reconnaissable entre tous : celui de la confidence.

Écoutons-nous suffisamment, entendons-nous assez, saisissons-nous la portée de tant d'inflexions et modulations qui irriguent sans cesse son discours ?

Contemporaine du quintette La Truite, écrite dans le même ton de La majeur, la sonate D. 664 voit le jour à l’été 1819 ; aux côtés de Vogl, chanteur célèbre et ami dévoué, Schubert entreprend un voyage en Haute-Autriche, à Linz et à Steyr.

“A Steyr, je me suis beaucoup amusé, et je m’amuserai encore beaucoup ; les environs sont célestes et vers Linz c’est aussi très beau.” (Schubert, lettre du 19 août 1819)

Nul besoin d’insister sur ce que la musique fait ici clairement ressortir : si à l’opposé du célèbre Voyage d’hiver, Schubert avait eu l’idée d’écrire un Voyage de printemps, il ne fait aucun doute que cette musique s’y prêterait à merveille. Dès les premières notes, cette sonate dépeint un éveil enchanteur au sein d’une nature qui irradie de joie et dont la fraîcheur exulte dans l’œil du voyageur. Guy Sacre disait avec tellement de justesse dans La musique de piano (Robert Laffont) “Croyez-vous qu’il ait fallu lutter avec la page blanche, comme Jacob avec l’ange, pour écrire ce lyrique thème d’entrée ? On se lève avec lui, on en accueille en même temps la promesse et l’accomplissement, la fleur et le fruit.”

Le deuxième mouvement s’écoule avec une sérénité et une intimité bien schubertienne avant que ne jaillisse le dernier mouvement peuplé de villageois, de leurs danses, leur fameux yodel. On entend les clochettes au passage des troupeaux, résonnant comme un écho d’enfance, et qui m’ont donné envie d’habiller certains passages de la ritournelle du thème d’un voile de résonance, comme de la poudre scintillante d’une nostalgie dorée.

Les quatre impromptus D 935 s’inscrivent dans une trajectoire unifiée tant par le jeu des tonalités que par l’harmonie des cadres formels utilisés.

Le premier, en fa mineur, est le plus proche d’une structure de forme sonate, abritant en son centre un duetto d’amore harmonisé en tierces dont le dialogue de registres fusionne avec des formules d’accompagnement en doubles-croches tourbillonnantes et obsessionnelles afin d’illustrer les élans d’un cœur tour à tour passionné, insistant, désespéré, suppliant, égaré dans un gouffre de douleur.

“Le poète est un gouffre où tombent avec fracas les douleurs du monde, et, en tombant, elles se désagrègent et brûlent, de sorte que n’arrive en bas que l’écho, parsemé de cendres et retourné vers les hauteurs - presque une musique”. (Ana Blandiana, poétesse roumaine contemporaine, Fragmentarium)

Le deuxième impromptu, en La bémol majeur, joint la tendre simplicité d’un menuet au frémissement, je dirais même à l’enfièvrement inattendu du trio central avant le retour du thème initial.

Le troisième impromptu, en Si bémol majeur, s’inspire d’un des thèmes de sa musique de scène, Rosamunde, également utilisé pour le mouvement lent de son treizième quatuor à cordes en la mineur, D.804, thème auquel je voue une infinie tendresse. On peut passer de nombreuses heures à creuser la partie immergée de ce qui paraît d'un naturel aimable et souriant faisant presque oublier que ce deuxième cahier d'impromptus fut écrit juste après Le Voyage d'hiver, en décembre 1827.

Le quatrième enfin, en fa mineur, s’ouvre sur le mordant d’un scherzo énergique et indomptable, lancé par une acciaccatura ré bémol-do qui n’est pas purement décorative, dans laquelle j’entends les mêmes notes, ô combien inattendues et dramatiques, qui clôturent le quintette à deux violoncelles, entretenant l’étincelle qui grandit tout au long de l’œuvre - malgré un épisode central fortement contrasté dont le lyrisme ondoyant rappelle un autre élément phare de l’univers schubertien, le ruisseau, ce confident à jamais fidèle - jusqu’à se consumer dans un dernier embrasement qui balaye le clavier pour se précipiter dans l'abîme.

“Et nous, sommes-nous autre chose que figures de ce jeu étrange et gratuit, mots d’un langage que personne ne parle ?
“Cependant nous dressons l’oreille à l’affût d’une pure mélodie ; antécédente à la fugue des formes. Comme si à travers l’étoffe des figures courait l’obscur, l’influx de leur foulée, l’incommencement d’un souffle. Et nous voilà déjà adossés à l’absence, précipités dans le creux de la langue, muets.
“L’homme est un miracle dont la vie sur terre jamais peut-être ne guérira.”

(Lorand Gaspar, Approche de la parole,1978)

Post Scriptum

Dans L’Immortalité Milan Kundera fait dire à l’héroïne principale :

“Elle se dit : un jour quand l'assaut de la laideur sera devenu tout à fait insupportable, elle achètera chez une fleuriste un brin de myosotis, mince tige surmontée d'une fleur miniature, elle sortira avec dans la rue en le tenant devant son visage, le regard rivé sur lui afin de ne rien voir d'autre que ce beau point bleu.”

J’ai la chance de connaître quelques personnes autour de moi semblables à des points bleus ; j’ai trouvé intéressant de leur proposer d’écrire quelques mots sur ce que Schubert leur évoque et je me suis permis de vous les livrer ici en leur exprimant toute ma reconnaissance.

- § - 

Les notes se sont à peine posées, comme sur le sable humide la pâte des oiseaux enfuis à l’aube, et déjà nous écoutons ce paraphe léger et bientôt effacé, animé par le souvenir d’un envol, invitation inéluctable à une confidence ultime et essentielle. La musique de Schubert dessine l’ébauche d’une trace disparue derrière nos errances et qui soudain nous raconte notre histoire dans un miroitement bouleversant de tous nos commencements : celui de l’enfance fragile de nos sentiments, de la naissance de nos désirs et de nos élans. Et nous voulons continuer à avoir peur, peur de perdre la mémoire de la découverte du Beau. Et nous sommes submergés par la nostalgie de tout ce que nous avions oublié et que nous ne pourrons humainement pas retenir.
Ghislaine Gross

Mars 2020. Étant médecin généraliste, j’ai répondu à « l’appel du front », qui fait taire toute autre voix. Mon piano attendrait. Après deux mois d’apnée, une petite accalmie m’a autorisé une permission. Avec quel plaisir me suis-je désaltérée auprès de Schubert ! …
Il y a dans cette sonate une incroyable énergie. Comment avais-je pu m’en éloigner ? Alors que le temps était suspendu par la maladie, les déplacements empêchés, les hommes confinés, Schubert faisait couler son flux. Ni un fleuve tranquille ni une cascade impétueuse et triomphante mais plutôt cette eau qui cherche son chemin, fait maints détours, contourne les obstacles et traverse les anfractuosités pour avancer, toujours. Quelle consolation, dans le climat morbide de la pandémie, dans l’incertitude et la vulnérabilité où nous étions plongés ! La vie tâtonne mais ne renonce pas, ne stagne jamais.

Delphine Hubert

Beaucoup ont essayé d’exprimer ce qu’ils ressentaient en écoutant du Schubert et ont fait chou blanc. Quand on me le demande, ma première pensée va à Gérard Depardieu, le monstre dont la sensibilité perçait dans Trop Belle pour Toi de Bertrand Blier. La famille parfaite est à table, un Impromptu arrive, impromptu, comme un cheveu sur la soupe qu’ils lapent bourgeoisement.
Il refuse de l’entendre :
“une musique dans la maison ? C’est quoi cette musique ?”
A son fils : “Pourquoi t’as acheté ça ?” (Le prof de musique a demandé de faire un exposé)
“Oui, mais moi elle me bouleverse cette musique.”
“Mais qu’est-ce qu’il avait dans la tronche ton Schubert pour écrire une musique aussi triste ?”
On a tous un chemin secret vers Schubert, un parcours de failles, clair de lune et chair de poule vers la lumière qui dessine les contours d’une porte close prête à s’ouvrir. Qu’est-ce qu’on a dans la tronche pour l’écouter ? Peut-être des cordes qui ne demandent qu’à vibrer, des pulsions qui viennent de loin et qui ne demandent qu’à se réveiller pour accéder douloureusement à quelque chose d’ultime et fort.
C’est cette souffrance exquise que Depardieu refuse d’abord avant d’y succomber, parce qu’il sait que la vie entière peut s’en trouver transfigurée, parce que c’est la souffrance de la passion impossible, le déchirement des apparences et la beauté de notre inanité humaine.
Jean-Pierre Gross

Liste des plages

Franz Schubert 1797 – 1828

Piano Sonata in A major D 664, Op. posth. 120
1 - Allegro moderato - 11'00
2 - Andante - 4'30
3 - Allegro - 7'34

Four Impromptus, D 935, Op. posth. 142
4 - Impromptu No 1 in F minor Allegro moderato - 11'05
5 - Impromptu No 2 in A flat major Allegretto - 6'15
6 - Impromptu No 3 in B flat major “Rosamunde” Andante - 11'55
7 - Impromptu No 4 in F minor Allegro scherzando - 6'47

Total CD - 59'09